dimanche 26 janvier 2014

Le Hobbit Warner Bros fait sa promo en impression 3D

Alors que le deuxième film de la saga de Peter Jackson, Le Hobbit La Désolation de Smaug, sortira en salle mercredi prochain, Warner Bros lance la vente de produits dérivés, mais également la distribution de fichiers 3D d’objets à imprimer soi-même.

C’est probablement une première. Afin de promouvoir son dernier film, Warner Bros propose le plan d’un objet dérivé du Hobbit. Warner Bros proposera en effet, au moins en Grande-Bretagne, un partenariat publicitaire avec Microsoft pour afficher des publicités dans Windows 8 et sur MSN. Ces publicités permettront d’accéder au plan 3D de la clé d’Erebor, le royaume sous la montagne dont les nains ont été chassés et qu’ils cherchent à reconquérir contre le dragon Smaug.

Lire notre test de l'impression 3D

Ces plans 3D pourront ainsi être utilisés par les utilisateurs pour imprimer leur propre version de la clé d’Erebor. Il leur suffit pour cela d’utiliser le fichier dans une imprimante 3D. À noter néanmoins que le gadget sera alors monochrome selon la couleur du plastique utilisé par l’imprimante, et qu’il faudra le repeindre pour lui rendre son aspect traditionnel.

Microsoft n’est pas le premier acteur de l’industrie numérique à participer à la promotion du Hobbit. Google a en effet lancé un site dédié permettant d’avoir accès aux principaux lieux de la trilogie.

mardi 21 janvier 2014

Les cyber-attaques explosent sur les smartphones

Crédit Photo: D.R

Crédit Photo: D.R

Les utilisateurs de smartphones ne sont pas à l'abri des pirates informatiques, qui ont multiplié les attaques sur le front des portables cette année, usant comme arme de la simple escroquerie commerciale jusqu'à l'espionnage industriel, indique une étude de Juniper.

De mars 2012 à mars 2013, le nombre de programmes malveillants introduits subrepticement dans ces terminaux a bondi de 614%, rapporte Juniper Networks. Le spécialiste réseau montre dans son rapport annuel sur les menaces mobiles que l'OS mobile de Google, Android, est particulièrement touché par ces attaques informatiques: il est concerné par 92% des attaques.

Ce fait s'explique par la domination mondiale d'Android sur le secteur, où il occupe environ trois quarts des parts de marché. Mais, estime Karim Toubba, de Juniper, c'est aussi un signe qu' « Android n'a pas un système de filtres sécuritaires aussi rigoureux », même s'il note que « tous les systèmes d'exploitation ont leurs vulnérabilités ».

De la simple attaque à l'espionnage industriel


Le premier type d'attaques consiste en des messages commerciaux envoyés pour proposer un faux service, moyennant un modique paiement, de 10 ou 50 centimes par exemple. Généralement, les usagers se rendent à peine compte de l'attaque, qui se reflètent par quelques centimes en plus sur leur facture.

Les cyber-criminels « peuvent ne laisser aucune trace », explique Toubba, en encaissant l'argent en quelques jours puis fermant les numéros utilisés pour la combine. Souvent, celle-ci se présente sous forme de SMS ou d'emails proposant l'actualisation d'un programme ou d'une application. L'étude révèle que la plupart des attaques sont menées de Russie ou de Chine.

Juniper observe aussi l'essor d'attaques plus sophistiquées, relevant du piratage de données d'entreprises ou gouvernementales. « Ils (les pirates) peuvent utiliser l'appareil comme un engin de reconnaissance avant d'aller plus loin dans le réseau d'une entreprise », explique M. Toubba, notant que de nombreux salariés ont accès à leur serveur professionnel via leur téléphone.

Juniper affirme avoir observé « plusieurs attaques (de smartphones) pouvant être utilisées pour voler des informations sensibles d'entreprises ou pour lancer une intrusion plus large ». Une tendance criminelle qui devrait augmenter de façon "exponentielle dans les années à venir", met en garde le rapport.

lundi 20 janvier 2014

Facebook développe un outil façon Instapaper

D’après les informations du site MyTechSkool, Facebook serait actuellement en train de tester une nouvelle option pour son application mobile permettant de sauvegarder des pages web pour les lire plus tard.

Tremblez Pocket et autres Instapaper. Facebook pourrait bien arriver prochainement sur le segment de la sauvegarde d’articles web. D’après le site MyTechSkool, le réseau social expérimenterait actuellement une nouvelle option sur la version mobile de son site web. Lorsqu’un de vos « amis » publie un lien sur Facebook, cette nouvelle option permet de l’enregistrer parmi les « liens enregistrés ». Dès lors, comme Pocket ou Instapaper, ce ne sont pas seulement le statut ou le titre de l’article qui sont sauvegardés, mais les articles en entier, consultables a posteriori via une nouvelle application disponible dans le panneau de gauche de Facebook et baptisée  « sauvegardé ».

L’intérêt de tels systèmes de sauvegarde d’article est de pouvoir consulter des articles longs ou d’y avoir accès pour plus tard. Par ailleurs, des applications comme Instapaper ou Pocket permettent également le téléchargement d’articles au sein d’une application dédiée pour pouvoir les consulter également hors connexion. Comme le rappelle MyTechSkool, le réseau social avait déjà testé une fonctionnalité équivalente pour son application il y a un an pour permettre la lecture différée d’articles. Par ailleurs, depuis plusieurs mois des rumeurs insistantes indiquent que Facebook souhaiterait lancer un agrégateur de sites d’actualité et de flux RSS à la manière de Flipboard ou Feedly.

jeudi 16 janvier 2014

Microsoft offre un jeu pour s #039;excuser des Xbox One défecteuses

On apprenait hier que certains exemplaires de la Xbox One étaient défectueux, quelques jours à peine après sa sortie. En cause : le lecteur de Blu-Ray, dont le moteur fait un bruit à réveiller les morts. Une compilation en vidéo est d'ailleurs disponible ci-dessous.

Pour régler ce problème, tous les utilisateurs qui possèdent une console déficiente doivent contacter Microsoft, qui procédera à un échange et renverra une Xbox One en parfait état de marche. Polygon rapporte également que Microsoft offre un jeu en téléchargement à tous les consommateurs concernés par ce défaut de fabrication. Ils ont donc le choix entre Forza Motorsport 5, Dead Rising 3, Ryse - Son of Rome ou encore Zoo Tycoon. Rappelons que chacun de ces titres vaut entre 60 et 70 euros.

Reste que les plus malchanceux devront quand même attendre un peu avant de pouvoir pleinement de leur nouveau joujou, le temps de retourner la console à Microsoft et de recevoir un exemplaire flambant neuf. Le géant de Redmond n'a pas communiqué sur le nombre exact d'unités touchées par ce problème, arguant que simplement qu'il ne concerne qu'un "très petit nombre d'utilisateurs".

Compilation des "petits soucis" du lecteur de la Xbox One.

mardi 14 janvier 2014

L’armée américaine veut transformer ses soldats en Iron Man

Le « Tactical Assault Light Operator Suit » (TALOS), est le dernier joujou de l’armée américaine, et ne manquera pas de rappeler à certains un certain héros nommé Iron Man. Cette combinaison robotique doit en effet assister les soldats dans leurs opérations, et ne manque pas de rappeler, par bien des aspects, le personnage de bandes dessinées.

Pour l’instant, TALOS n’existe que dans une courte vidéo en images de synthèse, montrant son design global et certaines des fonctions que la combinaison devrait proposer. Un des exemples est de rendre la combinaison résistante aux assauts par balle, afin de protéger la vie du soldat à l’intérieur. Pour cela, l’armée travaille donc sur un système de métal capable de se solidifier grandement lors d’un impact, évitant ainsi de les rendre mortels.

Outre la protection, cette armure devrait également faire office d’assistance aux soldats qui en seront équipés. Ainsi, elle pourrait leur permettre de se déplacer plus rapidement ou de profiter de plus de force. Ce sont donc autant de caractéristiques qui renvoient, une fois de plus, vers le fameux homme de fer des Comics. Les scientifiques derrière le projet espèrent pouvoir sortir un premier prototype dans les trois années à venir. Ce n’est pas la première fois qu’ils présentent un projet robotique, puisqu’on a déjà eu l’occasion de parler, par exemple, de Cheetah, un robot quadrupède capable de courir à plus de 45 Km/h.

Iron Man vu par l'armée

mercredi 8 janvier 2014

Un Nexus 4 sous Android 4.3 pour très bientôt

Alors que beaucoup espéraient apercevoir la relève du Nexus 4 lors de la conférence Google I/O, il aura fallu se contenter d’un Galaxy S4 débarrassé de TouchWiz, mais également d’une mise à jour du smartphone phare de LG et Google.

Nexus 4 BlancPas de X-Phone et encore moins d’Android 5.0 à la Google I/O cette année, mais la compagnie californienne avait toutefois quelques nouveautés mobiles sous la main, en témoigne le Galaxy S4 en mode « Nexus », c’est-à-dire tournant sous du pur Jelly Bean (en version 4.1 cependant).

Mais ce n’est pas tout, puisque différentes rumeurs faisaient état d’une nouvelle version du Nexus 4, qui sortirait le mois prochain. Une information confirmée par le site américain Androidandme, qui a mis la main sur l’appareil : outre la couleur blanche et inédite, ce nouveau Nexus 4 serait en tout point identique au précédent, avec toutefois la version 4.3 d’Android inclus en natif. Une mise à jour au contenu pour le moment assez flou, Androidandme évoquant seulement le support du Bluetooth Smart et de l’Open GL ES 3.0. Proposé à partir de 299 dollars (pour une capacité de stockage que l’on imagine de 8 Go), ce « Nexus 4.1 » serait disponible, au moins aux États-Unis, à partir du 10 juin.

samedi 4 janvier 2014

L'offre de partage de fichiers de Numvision séduit Bouygues Telecom

L'offre Numsync de Numvision Crédit Photo: D.R

L'offre Numsync de Numvision Crédit Photo: D.R

La start-up de La Ciotat continue de nouer des partenariats sur son offre de partage de fichiers, Numsync. Après Numergy, c'est au tour de Bouygues Telecom de proposer la solution de Numvision.

Malgré sa taille encore modeste (moins de 100 K€ de CA en 2012), Numvision intéresse déjà des partenaires commerciaux bien plus grands que lui. Plus précisément, c'est son logiciel de partage de fichiers Numsync, disponible depuis moins d'un an, qui fait mouche. Le deux septembre, Bouygues Telecoms Entreprises annonçait ainsi avoir signé un accord avec l'éditeur basé à La Ciotat (13) pour commercialiser sa solution auprès des PME et des ETI. Auparavant, Numvision comptait déjà le cloud souverain Numergy parmi ses partenaires.

Si la start-up labellisée jeune entreprise innovante suscite l'intérêt, c'est parce que sa solution Numsync fournit aux entreprises une alternative, encore rare, aux services de partage de fichiers tels que Dropbox. Pensés pour le grand public, ces derniers n'offrent, par exemple, pas de garanties suffisantes en termes de sécurité des données. Déployé sur les propres infrastructures d'un client ou sur celles de son prestataire, Numsync fournit des fonctions de sauvegarde automatique en temps réel d'un PC vers un serveur, d'accès au fichier en mode web, de synchronisation des données entre tous les ordinateurs d'une entreprise et, enfin, un système de partage de dossiers avec les contacts autorisés.

Un réseau de 50 partenaires à étoffer

Bouygues Telecom et Numergy ne sont pas les seuls à voir un intérêt à proposer ce type d'offre à leur catalogue. Au total, une cinquantaine de partenaires forment le réseau de distribution actuel de Numvision. On compte parmi eux des VARS, des SSII et des revendeurs à moins forte valeur ajoutée. L'éditeur leur laisse le choix d'héberger sa solution dans leurs propres datacenters ou de la commercialiser en mode SaaS depuis ses serveurs. Dans le premier cas, il leur est possible de commercialiser le service en marque blanche (a l'instar de Bouygues Telecoms Entreprises, de Numergy et de la moitié des revendeurs de Numvision) pour l'intégrer plus facilement dans une offre de services plus globale. « Au-delà de ses fonctions, Numsync intéresse nos partenaires car c'est une offre complémentaire à un service de stockage. Or, la majorité d'entre eux a investi dans une infrastructure de stockage et souhaite la rentabiliser en proposant des services associés », explique Samuel Degrémont, le directeur du service clients de Numsync.

Une prochaine levée de fond avec 1 M€ en ligne de mire

Numvision estime que son réseau de distribution est encore loin d'être suffisamment étoffé. Pour l'élargir, l'entreprise a recruté en juin dernier Eric Bonjean, l'ancien directeur commercial de l'éditeur Mailinblack en Rhône-Alpes. Doté d'une forte culture de l'indirect, l'homme dispose en outre d'un carnet d'adresses de sociétés susceptibles d'être intéressées par la commercialisation de Numsync. Numvision compte également consacrer une partie des sommes qu'il récoltera dans le cadre de sa prochaine levée de fonds pour étoffer son réseau de revendeurs. L'éditeur espère que cette opération lui permettra de rassembler entre 700 K€ et 1 M€. En janvier 2013, il avait déjà réalisé une première levée de fonds qui lui a permis de récolter entre 100 et 200 K€. Sa récente signature de partenariat avec Bouygues Telecom Entreprise est un argument de poids pour convaincre de nouveaux investisseurs.